8 Juin

Innocent, une mini série à l’intrigue haletante

Adaptée d’un thriller de Harlan Coben, la série espagnole Innocent , disponible sur Netflix depuis le 30 avril, mêle suspense et mystère. Une intrigue complexe entre proxénétisme, violences faites aux femmes et corruption des élites.

Innocent - Série

Mat, un étudiant, tue involontairement un jeune homme, lors d’une bagarre, en sortant d’une boîte de nuit. Emprisonné, il tente de refaire sa vie avec sa compagne, Olivia, enceinte. Le passé rattrape pourtant les deux protagonistes, et les plonge dans une histoire dramatique.

Le réalisateur Oriol Paulo respecte les codes “cobéniens” : enfer d’un couple plongé entre manipulations, crimes et apparences trompeuses. Cette série s’apparente à un jeu de piste, combinant flash-back et histoires secondaires, de rebondissements en rebondissements, chaque épisode nous en apprend un peu plus sur l’intrigue et conduit à une nouvelle enquête. Tout est fait et réglé parfaitement pour que l’énigme ne se résolve qu’au dernier épisode.

Une mini-série de huit épisodes de 50 minutes !

 

Angéla Béron

 

3 Juin

L’anomalie, un roman pour se faire face

L’anomalie, roman de Hervé Le Tellier et Prix Goncourt 2020, remet en question une part de ce qui est en nous, cette part qui nous échappe. Publié en 2020 aux éditions Gallimard, ce roman tisse plusieurs histoires de personnages différents les uns des autres, et mélange les styles de roman noir, psychologique, sentimental, intimiste et de science-fiction.

Ces personnages ont une chose en commun, ils sont sur le vol Paris-New York qui s’est posé deux mois auparavant avec les mêmes passagers à son bord. Le gouvernement américain fait tout son possible pour découvrir le mystère de ce vol, en les interrogeant dès leur sortie.

Hervé Le Tellier joue avec des questions métaphysiques autour de la question du double. Il s’interroge sur la nature du monde dans lequel nous vivons, l’auteur a étroitement intégré son œuvre pour s’enraciner dans l’abîme du «soi». Il a joué autour des vies et des destins de plusieurs des passagers de ce vol.

Une véritable confrontation de soi-même, à travers des personnages, qui reflète une partie de chacun des lecteurs.

Nour Abid

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L’anomalie, Hervé Le Tellier – #Gallimard – 336 pages – 20 euros – ISBN 9782072895098

 

3 Juin

LES ENTRETIENS DE LA BIODIVERSITÉ, première édition

La biodiversité réunit l’ensemble des êtres vivants peuplant la planète, un équilibre, souvent remis en question par les choix des humains. C’est la thématique de cet événement organisé par le parc de Sainte-Croix !

Mobilisé depuis sa création, en 1980, pour la préservation de la biodiversité, le parc de Sainte-Croix mène de nombreuses actions en ce sens. Cette fois, il a voulu aller plus loin en réunissant tous les acteurs de la protection de l’environnement.

Du 27 au 30 mai, le parc animalier a organisé pour la première fois une rencontre autour d’une question commune : la relation humains-nature. A travers des tables rondes, des conférences et des rencontres, ces entretiens ont pour but de sensibiliser et d’informer autour de la cause environnementale. En plus de ces réunions, des expositions sur la richesse de l’environnement de la région Grand Est sont exposées dans le Parc.

Par la remise en question des idées reçues, la vulgarisation de ces sujets et la richesse des informations et loin d’un fatalisme certain, ces acteurs et ces entretiens doivent créer de nouvelles synergies pour mener des actions concrètes et protéger efficacement la nature.

Entretiens de la biodiversité

Extrait de la vidéo de présentation de l’évènement Les Entretiens de la Biodiversité,

Parc animalier de Sainte-Croix, mai 2021

 

Pour cette première édition, quatre thématiques : les grands prédateurs, les zones humides, la forêt et l’agriculture.

La question de la première journée des Entretiens de la biodiversité est la cohabitation entre les humains et les grands prédateurs, à l’instar du loup ou du lynx. Pour les spécialistes, malgré leur réintroduction progressive en France, cela ne signifie pas un retour de la biodiversité revient. Il reste important de continuer sur cette lancée, car ces animaux sont nécessaires à notre système, faisant partie d’un équilibre.

La deuxième journée sur les zones humides s’ouvre par un état des lieux : environ 50% des zones humides ont disparues en France et dans le Grand Est, entraînant, de fait, une disparition de la faune et de la flore vivant dans ces milieux. Outre ce constat négatif, la discussion a été à la mise en avant des solutions envisageables pour protéger ces espaces : communication, sensibilisation, projets de restauration et de préservation au niveau local et individuel…

A l’image de la thématique précédente, la situation des forêts inquiète, malgré une certaine reprise. La réunion de ces personnes du domaine technique de la forêt et des naturalistes a montré que la gestion forestière doit tenir compte de la biodiversité et faire prendre conscience de l’importance de cet espace, réservoir de la biodiversité. La forêt est un écosystème à part entière.

L’agriculture est un défi du XXIe siècle : comment concilier exploitation des ressources et respect de l’environnement ? Il faut réussir à exploiter la nature de manière durable et dans ses limites. La crise sanitaire a permis une prise de conscience de l’urgence environnementale avec une remise en question de certaines pratiques, ce qui est un signe encourageant pour les acteurs de la protection de l’environnement. Il est nécessaire de se tourner vers une autre agriculture et un autre élevage, bio ou non, ayant pour caractéristique de respecter la nature.

Du cas des grands prédateurs, en passant par la problématique de la conservation des zones humides et de la forêt à la question de l’agriculture, ce qu’il faut retenir de ces journées : le besoin de cohabitation entre humains et nature.

Angéla Béron

Si vous n’avez pas pu assister à ces quatre jours riches et intenses, ces conférences sont disponibles en replay sur les réseaux sociaux du parc de Sainte-Croix

 

3 Juin

Perspectives, le festival en deux temps

Depuis 1978, le festival franco-allemand Perspectives, consacré aux arts de la scène en français et en allemand, propose au public de découvrir des talents de renommée internationale et de nouveaux artistes. Sa programmation variée couvre les disciplines allant du théâtre contemporain, à la performance, en passant par la danse contemporaine, le cirque ou la musique. C’est un « emblème des relations culturelles franco-allemandes”, selon le président de la commission Culture de la Région Grand Est, Pascal Mangin. Pour sa 43e édition, le festival se divise en deux temps : un premier rendez-vous en ligne du 20 au 29 mai et un second, du 29 juillet au 1er août 2021, dans les parcs et jardins de Sarrebruck !

Perspectives 1

Affiche du festival Perspectives, 2021, Perspectives

Du 20 au 29 mai, le festival a proposé quatre productions exclusivement créées pour l’écran et non la scène et des films documentaires. Ce sont de nouvelles formes artistiques, qui offrent le champ à de nouvelles réflexions sur les rapports à l’interprétation, à la mise en scène et aux publics : les artistes ont cherché comment se montrer malgré l’interdiction de représentation. C’est une version inédite du festival que nous offrent les artistes : interprétation du roman épistolaire de Goethe, comptant l’histoire de Werther et Charlotte, à la lumière du numérique ; adaptation décalée du polar Twin Peaks, mettant en scène les artistes et une ville entière cherchant le meurtrier par messages vocaux interposés ; film documentaire de la Compagnie XY relatant leur unique représentation de l’été 2020 et sa préparation difficile ; ou encore jeu de piste interactif du collectif machina-Ex, offrant au public une expérience exclusive du théâtre.

Angéla Béron

 

Le programme de juillet se déroulera en fonction des possibilités de la période !

 

 

 

3 Juin

Femmes en regard – Guerlain-

Chaque année, au printemps, la Maison Guerlain propose une exposition consacrée à la photographie. L’édition 2021 s’intéresse aux femmes à travers quatorze artistes de renommée internationale – mode, conflits, portraits… Cette exposition est accompagnée d’un cycle de conférences digitales leur donnant la parole. #LuxembourgFéminin a assisté pour vous à l’une des conférences à laquelle l’invitée était Christine Spengler.

Photographe de guerre, plasticienne et écrivaine française, Christine Spengler a couvert la plupart des conflits de la deuxième moitié du XXe siècle. Cambodge, Irlande, Iran, Liban… : au total, 14 conflits, plus que ce qu’aucun homme n’a fait.

“Photographe de guerre qui conte la vie” |

Sa première rencontre avec l’image a lieu en 1970, au Tchad, alors âgée d’une vingtaine d’années et accompagnée de son frère Eric, photographe de mode. Au cours de leur séjour, ils sont pris pour cible par des combattants Toubous : à ce moment, la jeune femme demande à son frère de lui prêter son appareil pour « témoigner ». Elle décide alors de devenir reporter de guerre pour défendre les causes justes.

Munie d’un appareil photo Nikon et d’un objectif grand angle, à l’image de son inspiration, l’artiste espagnol Goya, elle immortalise des scènes de guerre par des plans très larges. Elle donne à ses photographies la dimension du reportage par l’intégration de l’arrière-plan, manifeste du contexte.

Pour elle, cet art est le témoin des malheurs et des souffrances du monde. Etant contre la violence et le sang sur ses photos, elle fait le choix du noir et blanc et des visages de survivants pour montrer le drame et la noirceur et les lueurs d’espoir. C’est une « photographe de guerre qui conte la vie ».

“Une femme dans la guerre” |

Monde très peu ouvert aux femmes, Christine Splenger a rapidement su révéler ses talents de reporter de guerre et s’imposer parmi ses grands homologues. Être une femme en temps de guerre est un atout, car elle passe inaperçue. C’est ainsi qu’elle a pu entrer dans le monde des femmes voilées, en Iran ou en Irak et qu’elle a pris ses fameux clichés. En s’adaptant aux coutumes locales, elle a été acceptée par la femme de Khomeiny et est l’une des seules photographes au monde à être entrée dans l’intimité de l’ayatollah. Avec un appareil photo, elle se sent androgyne : elle a la force et le courage d’un homme pour se rendre sur le champ de bataille et la tendresse d’une femme par ce qu’elle capture.

christine-spengler_afghanistan_1997_aware_women-artists_artistes-femmes-750x512Christine Spengler, Afghanistan, 1997, © Christine Spengler

Du noir et blanc à la couleur |

C’est en 1983 qu’elle photographie pour la première fois en couleur : ce sont des portraits de ses défunts, entourés d’objets personnels, de fleurs, de perles… pour faire accepter le deuil. Par la suite, elle réalise des photomontages colorés à chaque retour de reportage pour expier ses souvenirs de guerre et le sang : cela lui permet d’« abolir la barrière entre les vivants et les morts ». Les fleurs et la couleur montrent le triomphe de la vie sur la mort. L’écriture est également un moyen de s’exprimer. Pour la photographe, une image ne vaut pas mille mots, car elle ne permet pas d’exprimer le bruit, l’odeur et la douleur. Ainsi, elle se met à écrire pour en combler les lacunes.

Angéla Béron

christine-spengler_ibiza-autoportrait-la-serenite-retrouvee_2009_aware_women-artists_artistes-femmes-507x750Christine Spengler, Ibiza. Autoportrait, la sérénité́ retrouvée, 2009, © Christine Spengler

 

 

3 Juin

Soupe « Je ne rentre plus dans mon pantalon »

Soupe froide de concombre, lait de coco et citron vert

Pour vivre la saison estivale en toute légèreté, #Greenshot vous invite à réaliser cette recette de soupe froide fraîche et gourmande.

Je ne rentre plus dans mon pantalon

Ingrédients :

  • 450 g de concombre
  • 10 cL de lait de coco
  • 50 g de poivron vert
  • 20 g d’oignon nouveau
  • Le jus d’1 citron vert
  • 3 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • Quelques feuilles de menthe fraîche
  • 40 cL d’eau
  • 5 g de sel (de Guérande)

Préparation :

  • Mixez au froid les ingrédients.
  • Réservez au réfrigérateur ou au congélateur avant de servir.
  • Idéalement, épépinez le concombre pour en retirer l’amertume. Vous pouvez laisser la peau ou non.
  • Préférez un lait de coco sans additif à forte teneur en coco (90%).

 

3 Juin

Soupe froide d’une chaude nuit d’été

Gaspacho de melon, banane et badiane

#Greenshot, créateur de potages, vous propose cette recette de gaspacho, parfaite pour une chaude nuit d’été.

A déguster sans modération !

Chaude nuit d été

Ingrédients :

  • 400 g de melon (de Cavaillon)
  • 100 g de concombre
  • 50 g de carotte
  • 40 g de banane
  • 25 cL d’eau de coco
  • Une pincée de badiane
  • Le jus d’1/2 citron
  • 5 g de sel (de Guérande)

Préparation :

  • Mixez au froid les ingrédients.
  • Réservez au réfrigérateur ou au congélateur avant de servir.
  • Idéalement, épépinez le concombre pour en retirer l’amertume.
  • Vous pouvez laisser la peau ou non.
  • La badiane est l’autre nom de l’anis étoilé : réduisez-le en poudre à l’aide d’une râpe.
14 Mai

UNORTHODOX ou l’histoire de Deborah Feldman

 

Au début de cette année, la traduction française de l’autobiographie de Deborah Feldman, Unorthodox a été publiée. Comment ai-je fait scandale en rejetant mes origines hassidiques. Ce roman a inspiré la mini-série du même nom, disponible sur Netflix.

Deborah Feldman – ou Etsy dans la série est une jeune femme de 19 ans, qui a toujours vécu au sein de la communauté juive hassidique de New-York. Après un an de mariage arrangé, de pression pour procréer et de relations infructueuses avec son époux, ne supportant plus les carcans imposés par sa communauté, elle s’enfuit sans affaires à Berlin. C’est là qu’elle y rencontre un groupe de musiciens, dont les habitudes remettent rapidement en question les traditions qu’elle a toujours suivies.

UNORTHODOX

Unorthodox, Netflix, 2020

Ce livre et cette série dévoilent, avec réalisme, l’existence et la nature de cette communauté, qui vit entre marginalité, croyances et coutumes strictes. A travers des flashbacks sur la vie d’Etsy, on en apprend plus sur le quotidien d’une jeune femme juive ultra-orthodoxe : mariage arrangé, injonction à procréer, vie en promiscuité, interdiction de travailler ou de pratiquer un loisir… Elles sont épouses et mères. Cette vie la poursuit tout au long de la série alors qu’elle tente de s’en échapper pour vivre pleinement la sienne, celle d’une musicienne libre épanouie.

Un livre, une série poignantes à découvrir !

Texte : Angéla Béron

14 Mai

ARCHIPEL, TROIS EXPOSITIONS, TROIS ESPACES A DUDELANGE

Le projet Archipel présente trois univers différents, qui mettent en scène les liens entre l’homme et son environnement.: un espace, où deux communautés différentes cohabitent, un espace qui sert de point d’observation du monde et du temps, et un espace technologique désaffecté dans le Grand Nord

Présentées dans le cadre du huitième édition de l’EMoPLux, les expositions de Marie Capesius, Rosafa Elshan et Marie Sommer s’inscrivent dans le mouvement du « Rethinking Landscape » (Repenser le paysage). Trois expositions dans trois espaces différents.

Héliopolis, entre « la cité du soleil et l’ombre bleue »

Marie Capesius, diplômée de photographie à Berlin en 2019, présente son projet de fin d’étude, Héliopolis. Elle nous entraîne sur l’île d’Héliopolis, dans la Méditerranée, où elle y a filmé le quotidien des habitants. Partagé entre un camp naturiste et un camp militaire de la marine française, ce territoire mêle deux ensembles totalement distincts : l’un lié à l’osmose des hommes avec la nature, l’autre à l’univers guerrier. Elle invite le spectateur à s’immerger dans un univers ambivalent pour comprendre deux notions, celles de paradis et d’enfer. Plus que de simples représentations du paysage, elle utilise les éléments de la nature pour permettre d’interpréter cet environnement. Pour elle, paradis et enfer forment un tout.

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Marie Capesius, Héliopolis, 2019

Synthèse d’une excursion, voyage dans un quotidien autre

Formée à la photographie à Bruxelles, Rosafa Elshan,s’intéresse au quotidien des choses et des objets, ce qui lui permet de créer une oeuvre dans un espace différent et sans cesse en mouvement. Synthèse d’une excursion illustre ces projets. L’artiste prend comme point d’observation un appartement pour appréhender le quotidien, et utilise un téléobjectif, qui sert à capturer des images en plan serré d’éléments très éloignés. L’intérieur et l’extérieur de l’appartement sont utilisés : tout est sujet à l’art. Les éléments du quotidien de tous types, mais aussi ce que l’on peut voir depuis l’appartement, servent à l’histoire que Rosafa Elshan construit. Ce n’est pas un paysage naturel qui est décrit, c’est un environnement où l’Homme vit.

L’œil et la Glace, aux confins du Grand Nord

Marie Sommer, photographe et artiste-chercheuse au Québec, s’intéresse aux liens entre les lieux et l’archive.C’est le sujet de son exposition L’Œil et la Glace, qui s’attache à explorer un vestige de la guerre froide : la DEW Line (Distant Early Warning Line), un système de défense installé au nord du continent américain pour détecter une invasion par l’URSS. Elle s’est alors rendu sur place pour explorer et capturer ces lieux à l’abandon.

L’exposition est composée d’un film, de photographies d’archives et d’éléments architecturaux des dispositifs radars. Ce n’est pas une œuvre historique qui nous renseigne sur ces constructions, mais une œuvre à part entière, ayant sa propre existence. Elle dévoile un monde technologique laissé à l’abandon par l’Homme dans un espace lui aussi inhabité et en proie au réchauffement climatique : elle montre les transformations de la technologie et du paysage arctique.

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Légende photo : Marie Sommer, L’œil et la Glace, 2021

Texte : Angéla Béron

Héliopolis au Centre d’Art Nei Liicht et Synthèse d’une excursion au Centre d’Art Dominique Lang à voir jusqu’au 13 juin, et ‘Œil et la Glace exposition de Marie Sommer au Display01 du Centre National de l’Audiovisuel de Dudelange, jusqu’au 29 août 2021.

14 Mai

La mousse de betterave à la roquette et aux radis

Au revoir l’hiver, bonjour le printemps, du rouge au rose, de la betterave aux radis.

Une recette de Sophie Ferrari

 Ingrédients :

-4 betteraves rouges cuites ou de préférence crues, huile d’olive, vinaigre balsamique, sel, poivre, piment d’espelette, feuilles de roquette, radis, 25g de pignons de pin

Préparation :

  • Si vous optez pour les betteraves crues : les cuire à l’eau bouillante salée pendant 30 minutes avec leur peau.
  • Les égoutter et éplucher les betteraves
  • Les couper en petits morceaux et les mettre dans un mixeur avec de l’huile d’olive ( en quantité généreuse), afin d’obtenir une belle texture lisse et onctueuse.
  • Saler, poivrer, vinaigrer légérement et mettre le piment d’espelette en poudre, selon le goût désiré.
  • Nettoyer les radis, les couper dans la longueur en 6 ou 8 en partant de la pointe, mais sans couper jusqu’au bout près de la tige, de façon à ce que le radis reste malgré tout en une pièce.
  • Les plonger dans l’eau glacée 15 min : ils vont s’ouvrir en forme de fleurs. Les égoutter et les conserver au frais dans un récipient fermé.
  • Préparer à la dernière minute les feuilles de roquette en les ciselant et ajouter un peu d’huile d’olive.
  • Servir avec des pignons de pin légèrement grillés sur la mousse de betteraves tiède, et la roquette

 

Coulis de betteraves rouges, ,fanes de radis ou roquette,2